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Algérie
Université d’automne à l’université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbès
Notre association (ACA) et l’université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbès, organisent du 3 au 5 novembre 2019, une université d’automne autour de l'entrepreneuriat.
Ce thème, qui est très actuel, n’est pas suffisamment pris en compte par l'université algérienne. Nous avons, à plusieurs reprises, essayé d'attirer l'attention de nos universités sur la nécessité d'opérer un virage dans les orientations afin d'inculquer cette culture de l'entrepreneuriat pour libérer les énergies créatives de nos étudiants et sortir de l'assistanat de l'Etat.
L'Association des Compétences Algériennes, qui regroupe des compétences et des expertises de niveau mondial, s'est toujours montrée disponible pour apporter son aide et son expertise à nos université et nos étudiants. Notre association se veut être un vecteur pour aider nos universités et nos institutions à bénéficier du transfert de technologies, d’expériences et d'expertises de nos compétences à l'étranger afin d’aider à développer le pays.
Nous avons déjà organisé un évènement dans ce sens avec l'université de Boumerdès en 2018 et ce fut un réel succès et nous souhaitons généraliser et pérenniser cette expérience.
Cette rencontre aura à cœur de placer l'entrepreneuriat au cœur des nouvelles missions de l'université algérienne qui doit opérer un virage dans les contenus de ses formations et surtout faire un changement radical dans la culture des étudiants en y intégrant dès le départ l'esprit d'entreprendre.
L'université algérienne continue à fonctionner comme dans les années 70 où il fallait former des formateurs mais le contexte a changé, tout le monde ne peut pas devenir professeur. Il faut donc inculquer la culture de l’entrepreneuriat à nos étudiants. Il faut aussi leur apprendre à innover en anticipant les mutations technologiques et en intégrant les besoins du pays et surtout les besoins de la région.
Je souhaite que notre université d’automne soit vraiment l'occasion de mener une réflexion sur le rôle de l'université, sur les contenus et surtout l'ouverture de l'université sur le monde de l'entreprise en développant des collaborations pour des formations plus professionnalisantes, qui seront à même de répondre aux besoins du pays et surtout de permettre aux futurs cadres d'exprimer tout leur génie. Et j'ai confiance en notre jeunesse, elle a toujours montré ses capacités toutes les fois où elle a l'occasion de le faire !
Cette université d’automne sera donc l'occasion de mener cette réflexion mais ce sera aussi l'occasion pour nos étudiants de montrer leurs possibilités de monter des projets et d'innover.
Les 10 grands axes du programme de travail :
Le Président de l’ACA
Madjid AYACHE
جمعيّة الكفاءات الجزائريّة
Tidukla Imusnawen n Lezzayer
Association des Compétences Algériennes
SOUTIEN A LA RÉVOLUTION POPULAIRE ALGÉRIENNE
Notre peuple est en train d’écrire une nouvelle page de l’histoire de l’Algérie. Il proteste dans la dignité mais avec fermeté pour exiger la fin d’un système qui a ruiné le pays, en dilapidant ses richesses et en excluant ses cadres et son peuple. Nous exprimons et manifestons notre totale solidarité avec notre peuple dont nous soutenons entièrement les revendications légitimes pour bâtir une société démocratique, moderne, libre et juste.
Nous, Association des Compétences Algériennes à l’étranger (ACA) exprimons notre totale disponibilité à servir notre peuple et notre pays. Nous appuyons sans réserve la demande légitime de notre peuple à changer de régime et à se débarrasser d’un système qui a spolié les richesses du pays et exclu les élites.
En ce moment historique, nous sommes fiers d’appartenir à ce peuple, qui force l’admiration du monde entier, à qui il vient de donner une leçon de courage, de dignité et de détermination, comme il a déjà fait par le passé.
Le peuple algérien a décidé et il doit être entendu car le peuple est seul détenteur de la légitimité et du pouvoir.
L’Association des Compétences Algériennes qui regroupe des compétences et des expertises de niveau mondial dans les domaines scientifique, technologique, économique, etc. est disponible à apporter sa contribution pour réussir la transition démocratique et construire le pays. Notre association s’est toujours montrée disponible et a toujours fait part de sa volonté d’apporter son expertise pour aider le pays mais le pouvoir en place a toujours fait la sourde oreille.
Les compétences Algériennes sont exclues et marginalisées par le système en place et pour que son exclusion soit totale, le système l’a gravée dans le marbre de la constitution. Au lieu de s’appuyer sur les compétences algériennes pour développer le pays, le système s’en est plutôt méfié, préférant faire appel aux étrangers en les payant grassement.
Les revendications pacifiques de notre peuple doivent être entendues et soutenues par tous, y compris par la communauté internationale, afin de garantir une transition démocratique pacifique et éviter une nouvelle tragédie dont le peuple n’en a pas besoin.
Nous devons rester vigilants et continuer à manifester pacifiquement mais avec détermination pour assurer la transition démocratique et changer de régime.
L’Algérie possède les moyens humains et les ressources nécessaires pour assurer un avenir radieux à tous ses enfants. Les membres de notre association activent dans plusieurs domaines pour apporter leur soutien et notre association met à la disposition de tous les algériens une plate-forme Internet pour leur permettre d’exprimer leur opinion et surtout pour proposer les noms des personnalités qu’ils jugent à la hauteur de la situation pour sortir le pays de cette crise et assurer une transition démocratique.
Vive l’Algérie.
PS. Un sondage pour le choix des personnalités algériennes pour assurer la période de transition est en ligne sur le site de l’ACA
http://aca.dzportal.net/articles.php?lng=fr&pg=278
Email : aca@dzportal.net Web : http://aca.dzportal.net/ Facebook : fb/AlgerianCompetences
Mes chers collègues,
Au nom de l’ACA et en mon nom personnel, je vous souhaite, à toutes et à tous, une excellente année 2019 pour vous-même et pour vos proches. Qu’elle soit source de joie, de paix, de santé et de prospérité.
Je forme également le vœu de voir notre association, ACA, se développer davantage et mettre à la disposition de ses membres un environnement professionnel à la fois riche et agréable qui vous permette de mettre toute votre expertise au service de notre pays.
Après le succès de l’université de printemps organisée en avril 2018 à Boumerdès, il serait fortement profitable de renouveler l’expérience, voire de la pérenniser en l’étendant à d’autres université qui ont montré leur intérêt pour ce type d’événement.
Avec l’assurance de tout mon engagement pour notre association.
Le Président,
Madjid AYACHE
Certaines personnes entretiennent l'ambiguïté en essayant d'associer le nom de l'ACA à leur démarche personnelle.
Nous précisons que l'agenda de l'ACA ne comporte pas de manifestation le 16 avril à Tlemcen.
Le Président de l'ACA
M. Ayache
La scientifique algérienne Hakima Amri honorée à New York
Publiée le : 10-10-2018 sur http://www.ouvalalgerie.com/
Source :Rmbuzz / Photo: (D.R)
WASHINGTON- Mme Hakima Amri, professeur émérite de l’université américaine Georges Town vient d’être récompensée par la Société des consuls généraux à New York (SOFC) pour ses contributions importantes dans le domaine de la recherche scientifique.
Professeur agrégé en biochimie et en physiologie, Mme Amri s’est vue décernée le certificat de reconnaissance de la SOFC, plus grand corps consulaire du monde comprenant 115 consulats généraux, pour son illustration dans son domaine d’activité et sa contribution au dynamisme et à la diversité de la société américaine.
Au cours d’une cérémonie organisée à cet effet à New York et à laquelle ont pris part les Etats membres du corps consulaire ainsi que les représentants des autorités locales de l’Etat de New York, la SOFC a salué également l’engagement de cette scientifique en faveur de sa communauté et de son pays.
Spécialisée dans la biochimie et la biologie cellulaire et moléculaire, Mme Amri est directrice des études supérieures en médecine intégrative à Georges Town University, et vice-présidente de Phylomics LLC, société spécialisée dans le traitement des données dans le domaine de la santé et de la recherche scientifique.
Elle est également spécialiste en médecine des systèmes, de bio marqueurs du cancer et de l’identification de bio signature, renforcée par l’approche analytique qu’elle a récemment développée en collaboration avec ses collègues du National Institute of Health.
Ses travaux de recherche dans ce domaine ont été validés récemment par un brevet délivré par l’Office des brevets des Etats-Unis.
La scientifique algérienne est aussi co-auteur d’un livre qui a porté sur la traduction et l’interprétation des observations du médecin et philosophe Ibn Sina à la lumière de la médecine moderne.
Avant de rejoindre les Etats-Unis, cette diplômée de l’université de Constantine, a obtenu un doctorat en stéroïde biochimie, liée à la santé des femmes de l’université Pierre et Marie Curie, en France.
Dans son allocution lue à cette occasion, Mme Sabria Boukadoum, Consul générale d’Algérie à New York a rendu hommage à la lauréate pour la qualité de ses travaux, et pour sa contribution constante en vue de tisser des liens avec la communauté universitaire et scientifique en Algérie où elle a acquis sa formation de base.
Elle a également souligné “l’importance qu’accorde l’Algérie, sous l’impulsion du président de la République Abdelaziz Bouteflika, à l’éducation et au renforcement du rôle des femmes dans la société”.
Par Mehdi Alioui
ALGÉRIE
21/11/2018 16h:11 CET
YOUCEF ABBA POUR LE HUFFPOST ALGÉRIE
Elu membre de l’académie française de pharmacie en octobre 2017 pour ses travaux et recherches sur les procédés pharmaceutiques, le chercheur et professeur algérien, Kamel Daoud a été honoré ce mercredi 21 novembre 2018 par le groupe pharmaceutique BioPharm à Alger.
Kamel Daoud est né le 06 Avril 1964 à Relizane. Après avoir obtenu son Baccalauréat, il a rejoint l’Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene, à Bab Ezzouar, pour obtenir, en 1989, son diplôme d’ingénieur en génie chimique.
Une année plus tard, en 1990, il a décroché son diplôme d’études approfondies en Génie des procédés à l’Université de Technologie de Compiègne, en France. Son histoire avec les procédés pharmaceutiques venait de commencer, “lorsque, tout jeune doctorant, il menait son étude hydrodynamique du transport pneumatique de matériaux solides en granules”, raconte-t-il.
En 1993, Kamel Daoud obtient son Doctorat en Technologie des poudres au centre de Recherche de l’USTHB. En 1994, il intègre cette université comme enseignant-chercheur jusqu’à 2008, date à laquelle il devient professeur. “J’ai accompli ma recherche post-doctorale à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene de Bab Ezzouar, dans le laboratoire de génie pharmaceutique que j’ai fondé il y a de cela 18 ans”, soit en 2000.
Durant son parcours en tant que chercheur puis professeur, M. Daoud s’est notamment distingué par ses publications dans des journaux scientifiques de renommée et ses communications dans plusieurs congrès et séminaires. Il a encadré parallèlement des doctorants, de magisters et une centaine de projets d’études.
Ce chercheur et membre de l’Académie française de pharmacie a également collaboré avec d’éminents spécialistes dans le domaine du génie pharmaceutique, en Algérie où dans plusieurs autres universités européennes et nord-américaines.
En 2003, Kamel Daoud a rejoint le Centre de recherche et de développement du groupe Saidal, qui l’a accueilli ”à bras ouverts” pour lui offrir la possibilité de mettre à profit ses connaissances dans les procédés au service du développement du médicament générique. En 2008, il a rejoint le groupe Biopharm en 2008, où il a pris part à la création d’un laboratoire de développement.
“Les travaux ont débouché sur la mise sur le marché de dizaines de médicaments génériques. Je suis fier que des milliers de patients algériens soient traités avec des médicaments auxquels j’ai directement participé à l’élaboration”, a-t-il témoigné.
Ce chercheur a été élu à l’Académie française de pharmacie en octobre 2017, sur proposition de ses membres. “C’est le fruit de nos recherches, moi et mes équipes de scientifiques, qui a interpellé mes confrères de l’autre côté de la Méditerranée, pour me proposer de rejoindre cette prestigieuse institution.
“Il s’agit d’un véritable temple de débat autour du médicament et de la santé publique”, fait-il savoir.
M. Daoud estime qu’être élu à l’académie française de pharmacie est “une reconnaissance par mes pairs pour mes modestes compétences dans le domaine pharmaceutique”. Il s’agit également, souligne-t-il, d’une “reconnaissance à l’égard des scientifiques Algériens”.
“20% des académiciens ne sont pas pharmaciens et moi-même je fais partie de ce lot. Mais le développement de la production du médicament fait appel à plusieurs sciences. La pharmacie, la biologie, la chimie et le génie pharmaceutique ont un lien avec le médicament”, souligne Kamel Daoud.
Cette consécration n’est qu’un commencement pour M. Daoud. “Faire partie de l’académie française de pharmacie n’est pas une fin en soi”, a-t-il déclaré. Il s’agit plutôt “du début d’une nouvelle responsabilité: celle de continuer à transférer le savoir à une nouvelle génération pour garantir la production de médicaments de qualité”.
“Deux séances académique sont programmées par mois, où il est question d’actualité, d’exposés et de communications. Et deux séances solennelles sont programmées deux fois par an”, poursuit le même professeur, qui a annoncé sa première participation à une conférence sur l’exploitation de l’intelligence artificielle dans les procédés pharmaceutiques le 05 décembre prochain à Paris.
Kamel Daoud a été honoré ce mercredi 21 novembre 2018 par le groupe pharmaceutique BioPharm à Alger, en présence de son DG Kerrar, du recteur de l’USTHB, Saidi Mohamed et du professeur Merab Boudia Rachida, membre également de la même académie.
“Je ne serai jamais debout ici, à cette cérémonie organisée par Biopharm, sans les enseignants qui, par leur passion et leur patience, m’ont transmis tout mon savoir. A ces hommes et femmes, mes salutations”, a-t-il déclaré lors de son allocution.
M. Saidi a salué l’engagement du chercheur et professeur à mettre à profit les résultats de ses travaux au service de l’industrie pharmaceutique algérienne.
Mme. Merad Rachida a de son côté félicité le professeur pour son élection, exprimant “sa joie et sa fierté de le compter parmi les cinq universitaires algériens membres de l’Académie française de pharmacie.
“J’ai été la première en 1980, puis quelques années plus tard, le professeur Houari Abed, puis le Pr. Reguabi, professeur au département Pharmacie au CHU de Bab El Oued, entre autres”, a-t-elle fait savoir.
Kamel Daoud rejoint ainsi ce club très restreint des scientifiques brillants.“Ce titre, vous le méritez, d’autant plus que le quota réservé à la catégorie de membre correspondant à l’étranger est très mince. Il faut être méritant pour être accepté”, a-t-elle conclu.
https://www.elwatan.com/edition/actualite/le-professeur-taieb-hafsi-elu-membre-de-la-societe-royale-du-canada-20-11-2018
SAMIR BEN 20 NOVEMBRE 2018 À 17 H 55 MIN
Le professeur algérien en management à HEC Montréal, Haïeb Hafsi, a été élu membre de la Société royale du Canada vendredi dernier à Halifax lors de l’événement Célébrons l’excellence et l’engagement 2018.
Taïeb Hafsi qui est titulaire de la chaire de Management-Stratégie et Société à HEC Montréal « a été élu par ses pairs dans la division francophone de l’Académie des sciences sociales. Ils rejoignent ainsi les plus de 2 300 universitaires, scientifiques et artistes canadiens qui font partie de la Société royale du Canada.», a indiqué Chad Gaffield, le président de la Société royale du Canada.
Il a jouté que « cet honneur lui est conféré en reconnaissance de ses réalisations remarquables dans le domaine des sciences sociales, au chapitre entre autres du vivre ensemble, de la cohésion sociale et de la quête d’une société plus juste. »
Taïeb Hafsi a rejoint HEC Montréal en 1984 après avoir travaillé comme ingénieur en génie chimique pour la Sonatrach. Entre autres postes occupés, il a enseigné à la faculté de management de l’université McGill (Canada). Il détient un doctorat en administration des entreprises de Harvard Business School.
Il est l’un des co-fondateurs de la fondation Club Avenir qui promeut l’intégration par l’excellence des Algériens du Canada.
Le professeur Hafsi est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages dont quelques-uns chez Casbah dans la série les Grands bâtisseurs sur Issad Rebrab, Amor Benamor et la famille Hasnaoui.
Fondée en 1883, la Société royale du Canada est considérée comme l’Académie nationale du Canada. Elle vise « à promouvoir la recherche et les réalisations intellectuelles au pays…; à reconnaître l’excellence académique et artistique, et à conseiller les gouvernements, les organisations non gouvernementales et le public canadien sur des sujets d’intérêt public ».
L’algéro-américain Cherif Sadki, directeur de Gar-Field High School, a été choisi pour représenter l’Etat de Virginie pour le titre du directeur de l’école secondaire exceptionnelle de 2017, a annoncé mercredi l’ambassadrice américaine en Algérie, Joan Polaschik sur son compte Twitter, qui l’a félicité pour son exploit.
Reconnu pour sa créativité et son imagination pour provoquer des changements positifs, Sadki est aussi honoré pour avoir améliorer le programme éducatif et le rendement des élèves, ainsi qu’assurer un climat scolaire qui reflète le moral élevé du personnel et des étudiants et pour avoir impliquer la communauté dans la vie de l’école.
‘’Le travail inlassable du Dr. Sadki et ses capacités naturelles de leadership ont entraîné une croissance significative aux étudiants de Gal-Field dans l’ensemble, spécialement ceux qui apprennent l’anglais’’ a déclaré le commissaire Steve Walts. ‘’Son travail est un modèle régional et national pour servir les apprenants d’anglais’’, a-t-il ajouté.
Depuis qu’il a pris la tête de Gar-Field il y a quatre ans, Sadki a mis en place un classement basé sur les normes, ce qui a augmenté la performance scolaire pour tous les élèves, ainsi que le taux d’obtention de diplômes chez les apprenants d’anglais.
L’école doit aussi à Dr. Sadki une restructuration du département des mathématiques, ainsi que le remplacement des anciennes méthodes de classement par des stratégies plus efficaces et collaboratives, fixant des objectifs linguistiques en plus des objectifs scolaires.
Grâce à son leadership visionnaire, l’Algérien a gagné le respect et le soutien de la communauté diversifiée de l’école, qui s’est traduit par un taux de satisfaction dépassant les 93% chez les parents d’élèves. L’approche patiente mais persistante de Sadki avec les enseignants lui a valu aussi des éloges de ces derniers.
Source : http://www.ouvalalgerie.com/news Par Abderrahman DE. / Photo: (D.R)
Publiée le : 15-11-2018